Historically, the sophrology is closely related to hypnosis and certain sophrologists also use hypnosis. But the sophrology, or more precisely, Relievings Dynamic, are not hypnosis.
“It is not hypnosis with another name. I practised the hypnotic processes with an intention of research and I gave up them because one of its bases consists of the modification of the state of consciousness, which I did not considered to be necessary for the practice of my Method, leaving his employment with the psychologists, psychiatrists and experts responsible” (Caycedo, 2001)
A first series of differences is the absence of philosophy, of method of drive of the personality and specific semantics in hypnosis.
One second, related to the first, is the reduced place left with the person (more often “patient” in the case of hypnosis). The objective can be wished by the patient (hypnosis therapeutic, for example) but the means of obtaining it is entirely under the control of the hypnotist. In sophrology, on the contrary, one proposes about adapting a method to use it in an autonomous way. It is however possible to meet hypnotists who are presented in the form of sophrologists… and of the hypnotizing sophrologists without the knowledge or to recognize it!
Let us underline moreover than hypnosis is inductive and heterogeneous, as at the time of many “sophronisations”; the sophrology aims to be deductive (personal discovery of the phenomena) and autogenous, as during “Dynamic Relievings”.
Thus the use of a poetic language, “fine wordss”, metaphors, injunctions, imagery and other suggestions… are techniques very much used in hypnosis (and alas, in much of “sophrologic” approaches) and do not make the “patient” (“passive”) autonomous.
“Terpnos Logos” ideal (the speech of the sophrologist during the meeting) would be… silence!
Let us specify on the one hand that Terpnos Logos of the sophrologist must evolve/move with the wire of acquisitions of the guided people: of explanatory at the beginning (and thus more detailed), it becomes orientatif and proposes nothing any more but kinds of beacons with, for example, the use of key names in short sentences.
In addition it can be useful, in rare emergency cases, to use a persuasive or hypnotic language.
It would remain much to say concerning the language: we invite you to read
Helene SANTERRE (LEROY), Mais... qu'est-ce que le langage ? A propos du Terpnos Logos, éditions ISR
1 La sophrologie est-elle de l'hypnose ?Historiquement, la sophrologie est étroitement liée à l'hypnose et certains sophrologues utilisent également l'hypnose. Mais la sophrologie, ou plus précisément, les Relaxations Dynamiques, ne sont pas de l'hypnose.
"Ce n'est pas de l'hypnose avec un autre nom. J'ai pratiqué les procédés hypnotiques avec une intention de recherche et je les ai abandonnés parce qu'un de ses fondements consiste en la modification de l'état de la conscience, ce que je n'ai pas jugé nécessaire pour la pratique de ma Méthode, laissant son emploi aux psychologues, psychiatres et experts responsables" (Caycedo, 2001)
Une première série de différences est l'absence de philosophie, de méthode d'entraînement de la personnalité et de sémantique spécifique dans l'hypnose.
Une seconde, liée à la première, est la place réduite laissée à la personne (plus souvent "patient" dans le cas de l'hypnose). L'objectif peut être souhaité par le patient (hypnose thérapeutique, par exemple) mais le moyen de l'obtenir est entièrement sous le contrôle de l'hypnotiseur. En sophrologie, au contraire, on propose au sujet de s'approprier une méthode pour l'utiliser de manière autonome. Il est toutefois possible de rencontrer des hypnotiseurs qui se présentent comme sophrologues... et des sophrologues hypnotiseurs sans le savoir ou le reconnaître !
Soulignons de plus que l'hypnose est inductive et hétérogène, comme lors de nombreuses "sophronisations" ; la sophrologie vise à être déductive (découverte personnelle des phénomènes) et autogène, comme lors des "Relaxations Dynamiques".
Ainsi l'utilisation d'un langage poétique, de "belles paroles", de métaphores, injonctions, imagerie et autres suggestions... sont des techniques très utilisées en hypnose (et hélas, dans beaucoup d'approches "sophrologiques") et ne rendent pas le "patient" ("passif") autonome.
Le "Terpnos Logos" idéal (le discours du sophrologue durant la séance) serait... le silence !
Précisons d'une part que le Terpnos Logos du sophrologue doit évoluer au fil des acquisitions des personnes guidées : d'explicatif au départ (et donc plus détaillé), il devient orientatif et ne propose plus que des sortes de balises avec, par exemple, l'utilisation de noms clés dans des phrases courtes.
D'autre part il peut être utile, dans des rares cas d'urgence, d'utiliser un langage persuasif ou hypnotique.
Il resterait beaucoup à dire à propos du langage : nous vous invitons à lire
HélèneSANTERRE (LEROY), Mais... qu'est-ce que le langage ? A propos du Terpnos Logos, éditions ISR