THE ENVIRONMENT IN THE NEWS

Wednesday, 8August, 2007

UNEP and the Executive Director in the News

  • A catalyst, not a cure (International Herald Tribune )
  • Eau - Pollution de l'eau - Pollution de la mer – Sécheresse (Actualites News Environment)
  • Au carrefour des énergies positives (L’Express)
  • Steering to safety (The Guardian)
  • Early 2007 saw record-breaking extreme weather (Grist Magazine)

Other Environment News

  • No change on climate at APEC: envoy (New Age (Australia)
  • China Can Cut Emissions Without Hurting Growth (Reuters)
  • Sénégal : "un élève, un arbre" (Xinhua)
  • This time it's personal (The Guardian)
  • Olympics - Pollution 'Biggest Issue' Says Australian Olympic Chief (Reuters)
  • Early 2007 Saw Record-Breaking Extreme Weather – UN (Reuters)

Environmental News from the UNEP Regions

  • ROA
  • RONA
  • ROWA
  • ROLAC

Other UN News

  • UN Daily News of 7 August 2007
  • S.G.’s Spokesman Daily Press Briefing of 7 August2007

International Herald Tribune (IHT): A catalyst, not a cure

By Jacques Rogge International Herald Tribune

Tuesday, August 7, 2007

A year from now the Summer Olympic Games will begin in Beijing. Athletes from over 200 nations will participate in an opening ceremony for Games that have come to symbolize China opening up to the world. Many observers will be as interested in judging China's overall performance in 2008 as they will be in the results of athletic competition.

From the moment Beijing's winning bid to host the Games was announced in 2001, expectations were established that the Games would help improve social development in China. Moreover, since then there has been an increasing tendency to expect that the Games can help influence a wide array of matters related to China's evolution that go far beyond sport.

The Olympic Movement does not exist in a vacuum. Sport is part of society. With Beijing, however, one of the great challenges will be to manage expectations that the Olympic Games can influence China's evolution to the extent many observers desire.

It is natural for human rights and other organizations to place their causes in the spotlight that the Beijing Olympic Games is casting on China, and to draw attention to reforms they advocate. However, the Games can only be a catalyst for change and not a panacea. Any expectations that the International Olympic Committee should apply pressure on the Chinese government beyond what is necessary for Games preparations are misplaced, especially concerning sovereign matters the IOC is not qualified to judge. That was not part of the bid agreement with Beijing when it was awarded the Games. It was not the case for previous Games, nor will it ever be the case for future host cities.

It is important to recognize that China's transformation began long before the Games were awarded to Beijing. Specialists are now observing more legislative progress as well as government acknowledgement that more changes are needed in China's society and economy. Much of this was unimaginable a short time ago.

It wasn't necessarily a deciding factor when the International Olympic Committee voted to award Beijing the Games for the first time in history, but it has since become clear that it is better to open a new door to China than to leave it closed at this point in its modern evolution. An open door approach will continue to benefit China, its citizens and its relationships with other nations long after the 2008 closing ceremony. In this sense, the IOC believes more than ever that the Beijing 2008 Games offer a great legacy for China to manage and sustain.

The committee must focus on ensuring that athletes can prove themselves to be the pinnacle of sport in 2008. But we are also making sure that China adheres to new legislation allowing necessary access for foreign journalists and that it implements beneficial environmental programs for the Games that will be reviewed by the UN Environmental Program.

All of the dialogue on issues related to China has shown the International Olympic Committee that it must continue to understand the role people expect the Olympic Games to play in an increasingly complex world. Such an understanding will help the Olympic Movement as it endeavors to bring the Games to more places in the world.

Bringing the Olympic Games to Beijing in 2008 is only one step toward fostering warmth between China and the world. This is the hope for all Olympic Games. If the benefits in Beijing have an effect beyond sport arenas, then everyone will win.

<em>Jacques Rogge is president of the International Olympic Committee.</em>

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Actualites News Environment: Eau - Pollution de l'eau - Pollution de la mer - Sécheresse

Environnement, la marée noire n’en finit plus sur les plages du Liban 07/08/2007 16:22 (Par Pierre MELQUIOT)

Environnement, la marée noire n’en finit plus sur les plages du LibanEnvironnement, la marée noire n’en finit plus sur les plages du Liban

Alors que l’on croyait que la marée noire qui a eu lieu au Liban suite à l’attaque d’Israël de la centrale électrique de Jiyyeh située à 28 kilomètres au sud de Beyrouth, résolue, deux associations de protection de l’environnement, Green Line et Byblos Ecologia, affirment qu’il n’en est rien.

Selon elles, dans des propos rapportés par The Daily Star, la marée noire qui a fait suite à l'écoulement de quelque 15 000 tonnes de pétrole brut dans la Méditerranée, polluant toutes les plages du Liban, sur 120 kilomètres, jusqu'au rivage syrien, est loin d’être résolue.

Ces deux ONG de protection de l’environnement affirment en effet que la côte libanaise est toujours très polluée par la marée noire, alors que d'autres ONG dont le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) certifient de leurs côtés que les plages libanaises sont désormais sans danger et que la majeure partie du pétrole qui s'y est déversée pendant la guerre de juillet et d'août 2006 entre le Hezbollah et Israël, a été nettoyée.

Fifi Kallab, présidente de Byblos Ecologia, et Ali Darwish, président de Green Line, dénoncent de leur côtés le « manque de responsabilité du gouvernement libanais », ajoutant que le nettoyage qui a été fait a mal été réalisé et, que dans de nombreux endroits, les hydrocarbures collectés s'amoncellent sur le bord des plages. « Il est dangereux de se baigner dans ces eaux et les gens ne sont même pas prévenus », ajoute Fifi Kallab.

Ce n’est pas l’avis du ministre libanais de l’environnement, Berge Hadjian, qui a cette annonce, a assuré qu’il « n’y avait pas de problème à nager dans la mer », et que 60 à 70% du pétrole avait été récupéré. » Pour Gaby Khalaf, directeur du développement du centre marin national, s’est dit « 100% sûr que les poissons péchés dans la Méditerranée étaient propres ». « Le niveau des agents dangereux trouvé dans les poissons que nous avons prélevés est loin en dessous du seuil de dangerosité internationalement fixé. »

Il a ajouté que le ministère de l’environnement, dans sa coordination avec « Electricite du Liban », était parvenu « à empêcher quelques autres 25.000 tonnes de carburant de se déverser dans la mer » en protégeant un réservoir de carburant sur le point d’exploser.

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L’Express: Au carrefour des énergies positives

Plus d’un quart de siècle dans le domaine des énergies renouvelables ne l’a pas usé. Une carrière enviable à l’ONU après des études en Russie et un rôle de pionnier à l’Université. Aujourd’hui, installé en Floride et devenu son propre patron, le docteur Suresh Hurry reste à notre service.

Les sixties à Moscou : Kroutchev, Brejnev, Soljenitsyne… et la télévision russe. Pour le docteur Suresh Hurry, aujourd’hui directeur de IT Power US, Inc en Floride, une société de service-conseil en énergies renouvelables, pas plus tard qu’hier officiel aux Nations unies à New-York, le jour s’est définitivement levé à l’Est. En plein effort d’URSS, dont le seul nom terrorisait certains de ses compatriotes, mais qui ne lui faisait pas plus peur qu’à ces nombreux étudiants qui ont vu – très souvent avec raison – dans la Russie soviétique d’alors l’aubaine d’études abordables et de très haute qualité.

Au prix peut-être de quelques concessions avec la propagande, parfois. Mais notre Rosehillien de naissance, Curepipien le temps de ses royales années collégiennes, en tira le meilleur parti, apprenant puis maîtrisant non seulement le russe, mais aussi le moscovite (nous voulons dire : le russe parlé avec l’accent moscovite) avec une telle aisance qu’il finit par paraître à la télé russe en tant qu’étudiant étranger modèle.

Pas vraiment surprenant, si on s’approche de ce qu’a toujours été Suresh Hurry : un homme de science, avide d’apprendre, authentique cosmopolite et aimant la vie. C’est ainsi que rentré au pays en 1970 et intégrant l’Université de Maurice des temps héroïques, il repart en 1974, en congé avec solde (cela se pouvait), peaufiner son doctorat à l’Indian Institute of Technology, à Delhi. Lorsqu’il revient, c’est pour lancer, bien avant que le concept se soit imposé dans l’esprit des Mauriciens, un programme de recherches sur les énergies renouvelables.

Avec le soutien de l’Ademe (l’Agence française- de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), alors connue comme le Commissariat à l’énergie solaire), il favorise l’installation des stations de mesure du potentiel éolien (énergie produite par le vent). Pour le détenteur de la chaire de technologies à l’Université, le recours aux énergies renouvelables ne serait donc pas qu’un joli préchi-précha : “Je me souviens encore de l’incrédulité du ministre de l’époque quand je lui ai parlé du chauffe-eau solaire installé chez moi. Et de son étonnement quand, répondant à mon invitation, il se rendit compte de lui-même des bienfaits d’un tel système.”

Comme quoi, rien ne vaut une visite sur le terrain. Nous sommes à la fin des années 70 : à Quatre-Bornes, à Maurice même, Suresh est un des rares à être équipé de la sorte, alors que le matériel vaut une petite fortune. “Ce qui est valable aujourd’hui l’était déjà hier : il faut voir au-delà des coûts immédiats, le coût du cycle de vie. Certes cela revient cher pour les premières années. Mais quand on sait qu’un chauffe-eau est efficace pendant 20 ans, vos kilowatts heures sont amortis en l’espace de cinq ans, mais encore vous avez l’eau chaude gratis pour très longtemps.”

C’est dans ce contexte presque militant que Suresh est recruté par l’Unesco et le PNUE comme consultant pour monter des projets d’implémentation de l’énergie solaire en Afrique. “Pour le poste de New-York, parmi les autres candidats, il y avait un Turc ainsi qu’un Sud-américain. En fait on me connaissait si bien à New-York qu’on m’a embauché sans même faire l’entretien téléphonique.” Suresh, un de ces valeureux intellectuels mauriciens à faire la fierté du pays sur le plan international, se retrouve donc fonctionnaire des Nations unies, premier secrétaire général de la Société de l’Energie Solaire d’Afrique.

Les projets s’enchaînent, les offres aussi : en 1982, les Nations unies le pressentent pour un poste à New-York: de là il pilotera nombre d’initiatives, dont notre pays sera aussi bénéficiaire : la première éolienne à Rodrigues, c’est lui, notamment. “Elle produisait entre 40 et 80 kilowatts/h par jour, pour faire marcher une pompe dans un puits”. Parfois les résultats dépassent les espérances : “l’éolienne produisait un excédent d’énergie : on s’en est servi pour la fourniture d’une vingtaine de maisons”. A l’époque, avoir du courant à Rodrigues, c’est déjà être privilégié ; alors de l’énergie éolienne, vous pensez ! Voilà donc l’enfant adoptif de Moscou qui amène la révolution électrique à Anse-Quitor…

Et Maurice ? “Depuis le temps qu’on en parle ! Qui se souvient du projet d’éolienne de Grand-Bassin ?” 25 ans d’études, de dessins, on est passé de Bigara à des projets de coopération avortée avec des firmes étrangères… Et si on lui demandait son avis ? “Je pense qu’on ne peut se fier qu’aux seules sources renouvelables. Il faut certes un mélange. Le vent n’est pas constant, mais nous avons la bagasse, dont nous devrions faire une utilisation maximale.” Reste le diesel – “dans quelle proportion avoir recours à ce carburant pollueur?” – , le charbon, l’éthanol – “cher celui-là et qui a fait grimper dans une spirale les coûts du maïs et des engrais destinés à l’élevage de poulets. Des études ont aussi démontré que l’éthanol avait une valeur énergétique moindre de 24 à 27 % que l’essence”. Une sacré différence, sauf si on consent à faire des économies d’énergie ! .

Mais aller vers le renouvelable, ce n’est pas qu’une seule question économique. “A chaque fois qu’on utilise de l’énergie du soleil, du vent, on diminue l’émission du dioxyde de carbone (CO2).” Entre-temps, les exploitants du pétrole emplissent, dans les abysses de la terre, les poches vidées d’énergie fossile, le dioxyde de carbone. “Il paraît qu’elles sont des cavités étanches, mais on ne peut en avoir la certitude totale à l’heure”.

Si sa foi est demeurée intacte dans le potentiel du ciel, du soleil et de la mer, dans une version qui va au-delà d’une conception toute classique (héritée des classiques sixties), notre homme n’en a pas moins décidé, au terme d’une carrière bien remplie en plein Big Apple, de prendre ce qu’il appelle un parachute doré. Parti à la retraite, lui qui a toujours su trouver le temps, entre deux missions de manier sa raquette de tennis. Pour atterrir en douceur… dans son domaine de prédilection : la consultance en énergies renouvelables. Mais chez soi, en Floride, entre deux escapades à New-York, où travaille madame et où il est amené aussi à mener quelques missions ponctuelles. On le rencontre à Maurice en vacances, dans son Rose-Hill de toujours. Demain, vous pourriez le croiser aux Galapagos, où IT Power US, avec le soutien du PNUD, à participer à l’élaboration d’un plan stratégique pour une bonne utilisation de l’énergie, dans un contexte où saisonnièrement le petit archipel voit sa population tripler par l’afflux de touristes. Cela ne vous rappelle rien ?

Alors, Maurice ne vous intéresse plus pour le coup? “Je suis toujours disposé. Je suis toujours Mauricien. Après tout j’avais postulé pour le poste de Directeur général du CEB il y a bien des années”…

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The Guardian: Steering to safety

The FIA Foundation promotes higher road safety standards worldwide - following its own agenda, not corporate or commercial interests.

David J Ward

August 7, 2007 8:30 AM

The claim made by Professor Ian Roberts that the FIA Foundation is part of an attempted "corporate capture" of road safety by the automobile industry is false and absurd. The FIA Foundation has no relationship with automobile manufacturers whatsoever. It is entirely independent of industry and plays a leading role in promoting higher motor vehicle safety standards worldwide. For example, we support the work of the award-winning independent Euro NCAP consumer crash tests, which is the only such programme in the world that includes pedestrian protection rating.

The Commission for Global Road Safety, under the chairmanship of Lord Robertson of Port Ellen, is urging recognition of road safety as an important issue for sustainable development. It is calling for a $300m action plan to support the implementation of the 2004 world report on road traffic injury prevention published by the WHO and the World Bank, which remains the primary source of well-designed road safety policies. The commission is also calling for a first ever global UN ministerial conference on road safety.

The commission is also concerned that each year the World Bank and other multilateral agencies are investing more than $4bn on roads in low- and middle-income countries without ensuring the highest levels of safety assessment and design. The importance of transport infrastructure to meet the millennium development goals was recognised by the G8 leaders at the Gleneagles Summit in 2005 and as a result aid for roads will increase through initiatives such as the Africa Infrastructure Consortium. However, the key question is will new roads in Africa increase exposure of children and pedestrians to traffic moving at higher speeds? We fervently hope not and that is why we are campaigning for safer road design that will better protect vulnerable road users. The commission has recommended that a minimum of 10% of all road projects be devoted to safety countermeasures.

The commission has 12 members coming from the G8 countries, Costa Rica, Kenya, India and Oman. They include a leading economist, a medical professor, a minister of transport, a head of road traffic police, a UN diplomat, a public health specialist, a road safety NGO, a former CEO of a tyre company and just one representative of a motor vehicle manufacturer. It is true that three members have links to their national automobile clubs.

The Make Roads Safe report, published last year by the commission, was supported by an Editorial Advisory Board that included the lead road safety experts of the WHO, the World Bank, the OECD, and the UN. All endorsed the report. The main purpose of the Make Roads Safe report has been to push policy makers on their resource commitment to road safety. For example at the moment, the UK Department for International Development spending on road safety has fallen from just £300,000 in 2001 to a paltry £126,000 in 2006, from a total aid budget of £4bn.

Professor Roberts also tries to link formula one with the allegation of so-called "corporate capture". This is also entirely false. The FIA Foundation was established as an independent charity with a $300m gift from the FIA, the non-profit association of automobile clubs and the governing body of motor sport. The donation came from the sale of its interest in the television rights to formula one. So in fact the sport has generated a remarkable charitable donation, which the FIA Foundation is now using to promote road safety and also the environment. We support, for example, the UN environment programme's campaign for a global ban on unleaded fuel by 2008 and the switch to low-sulphur fuels that are required for new emission control technologies.

Today there are 600m motor vehicles on the planet. This number is forecast to double by 2020. We can debate forever whether such an increase is sustainable or how to prevent it. I suspect that telling Africans, Indians and the Chinese that they should not have similar transport choices to our own will not be effective. The FIA Foundation's response to this challenge is to try to help ensure that growing levels of motorisation are much safer and more environmentally sustainable than before. This is our own agenda and not one determined, as Professor Roberts suggests, by any corporate or commercial interests.

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Grist Magazine: Early 2007 saw record-breaking extreme weather

Posted by Joseph Romm at 1:01 PM on 07 Aug 2007

The weather is getting more extreme thanks to human-caused climate change (as I've pointed out many times, see here, here, and here).

Now the World Meteorological Organization reports more evidence:

In January and April 2007 it is likely that global land surface temperatures ranked warmest since records began in 1880, 1.89°C warmer than average for January and 1.37°C warmer than average for April. Several regions have experienced extremely heavy precipitation, leading to severe floods. The Fourth Assessment Report of the WMO/UNEP Intergovernmental Group on Climate Change (IPCC) notes an increasing trend in extreme events observed during the last 50 years. IPCC further projects it to be very likely that hot extremes, heat waves and heavy precipitation events will continue to become more frequent.

"The start of the year 2007 was a very active period in terms of extreme weather events," said Omar Baddour of the WMO's World Climate Program. Here are some of the extremes that have been happening around the globe in 2007 as reported by Reuters and the WMO:

South Asia's worst monsoon flooding in recent memory has affected 30 million people in India, Bangladesh and Nepal, destroying croplands, livestock and property and raising fears of a health crisis in the densely-populated region ...
Cyclone Gonu, the first documented cyclone in the Arabian Sea, made landfall in Oman on 6 June with maximum sustained winds near 148 km/h. Gonu moved through the Persian Gulf making a second landfall in the Islamic Republic of Iran. In Oman, the cyclone affected more than 20,000 people and was responsible for more than 50 fatalities.
Heavy rains during 6-10 June ravaged areas across southern China. Flooding affected over 13.5 million people with more than 120 fatalities due to floods and landslides.
In England and Wales the period May to July in 2007 was the wettest (406 mm) since records began in 1766, breaking the previous record of 349 mm in 1789. The extreme rainfall in June, with 103.1 mm of rain recorded in 24 hours during 24-25 June in northeast England, was followed by a similar event with 120.8 mm of rain on 20 July in central England. Both events resulted in extensive flooding across parts of England and Wales. At least nine people have died and damage is estimated at more than US$6.00 billion.
With 126 mm (normal for 1961-1990: 71 mm], Germany experienced its wettest May since country-wide observations started in 1901. In sharp contrast, the previous month was the driest April since 1901 with an average of 4 mm (7% of the 1961-1990 normal) ...
Two extreme heat waves affected south-eastern Europe in June and July, breaking the previous records with temperatures exceeding 40 °C. Dozens of people died and fire-fighters worked around the clock fighting blazes devastating thousands of hectares of land. On 23 July, temperatures hit 45°C in Bulgaria, setting a new record.
In May a heat wave affected areas across western and central Russia breaking several temperature records. In Moscow, temperatures on 28 May reached 32.9°C, the highest temperature recorded in May since 1891 ...
In India, a heat wave during mid-May produced temperatures as high as 45-50°C.
Many European countries had their warmest January on record. January temperatures in The Netherlands were the highest since measurements were first taken in 1706, averaging about 7.1°C (2.8°C above 1961-1990 average) while in Germany the temperatures were 4.6°C above the 1961-1990 average.
An increase in intense tropical cyclone activities in the North Atlantic since about 1970 has been observed.